miércoles, 20 de abril de 2011

Six contes moraux


Ce livre est composé de plusieurs petites histoires, qui ont la forme de nouvelles: La Boulangère de Monceau (1962), La carrière de Suzanne (1963), La collectionneuse (1967), Ma nuit chez Maud (1969), Le genou de Claire (1970), L’Amour l’après-midi (1972).J'ai commencér à les lire et j'ai bien aimé...on retrouve un peu les mêmes histoires le long des récits, mais malgré tout, j'apprécie...Je me demande ce que vous en pensez. Souvenez-vous la prochaine tertulia aura lieu le mercredi 27 à 20h00, donc vous avez les vacances pour le lire. Ça se lit très vite.

Voici ce que dit l'auteur sur le livre:
"Pourquoi filmer une histoire quand on peut l’écrire ? Pourquoi l’écrire quand on va la filmer ? Cette double question n’est oiseuse qu’en apparence. Elle s’est posée trés précisément à moi. L’idée de ces contes m’est venue à un âge où je ne savais pas encore si je serais cinéaste. Si j’en ai fait des films, c’est parce que je n’’ai pas réussi à les écrire. Et si, d’une certaine façon, il est vrai que je les ai écrits - sous la forme même où on va les lire - c’est uniquement pour pouvoir les filmer. Ces textes donc, ne sont pas "tirés" de mes films. Ils les précèdent dans le temps, mais j’ai voulu d’emblée qu’ils fussent autre chose que des "scénarios". C’est ainsi que toute référence à une mise en scène cinématographique en est absente. Ils ont eu, dès le premier jet, une apparence résolument littéraire." Eric Rohmer
Et voici ce que dit Wikipedia sur l'auteur

2 comentarios:

  1. Personnellement je trouve que ce livre a certainement été très bien quand il est paru, mais maintenant je le trouve démodé. J'ai l'impresssion que l'auteur essayait de provoquer, de choquer par certaines situations. mais aujourd'hui cela ne marchepas, car on ne voit plus la provocation et donc le livre n'a pratiquement plus de raison d'être. Enfin c'est mon point de vue, tout à fait personnel.

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  2. Oui, Marie-Hélène a raison: ce n'est pas un roman très actuel. Au fur et à mesure que je lisais, les images que se formaient dans ma tête étaient en sépia. Ça me rappellait le film "Le mari de la coiffeuse". En plus, j'ai trouvé un peu bizarre le fait de ne pas tutoyer une femme, même si l'on a déjà couché avec elle ("Ma nuit avec Maud").
    En tout cas, il faut être justes: c'est très bien écrit! Considérons-le un classique

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